Le blog de Pierre Caspar

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"Musiques du Monde" - Claye-Souilly

et du Choeur "Odyssées"

www.choeurodyssees.fr  

Chœur « Odyssées »

    
Président : Joël Choppe

Vice-Présidente : Martine Deschamps

Trésorière : Annie Desmet

    Secrétaire : Jacqueline Leduc

Chef de choeur :  Marie-Hélène Caspar 

Chefs de pupitres

     Véronique Rouquette (soprani)

Marie-Hélène Caspar/Marguerite Gautret de la Moricière (alti)

Cyril Grégoire/Marie-Hélène Caspar (ténors)

    Marie-Hélène Caspar (barytons/basses)

Pianiste : Marc Denouel

Réceptions : Brigitte Grandeau

Communication : Joël Choppe, Marie-Hélène Caspar

Relations partenaires et Publicité :

Marie-Hélène Caspar

    Hilda Urban (commerçants)

Relations extérieures - voyages :

Marie-Hélène Caspar - Martine Deschamps

Présentation - costumes :

Michèle Choppe - Martine Deschamps

Partitions : Brigitte Grandeau 

Réservations - billetterie :

Martine Deschamps - Photos Fleury

Membres bienfaiteurs : Marie-Hélène Caspar - Annie Desmet

Affiches - programmes : Pierre et Marie-Hélène Caspar

    Sites internet (France - International) :   Pierre Caspar

Pour toute information :

mh.caspar@wanadoo.fr

mwdeschamps@aol.com   
 

Le Choeur "Odyssées" est dirigé par Marie-Hélène Caspar depuis 1986.

      Les choristes

Soprani 1 : Kristina Chobanyan, Corinne Detourbet, Marie Firmery, Monique Ligner, Sylvie Pidon, Véronique Rouquette.      

Soprani 2 : Annie Bosco, Michèle Choppe, Martine Deschamps, Marie-Line Leconte, Françoise Le Roy, Claudine Thomas.  
Alti 1 : Annie Desmet, Sylviane Gabel, Marguerite de la Moricière, Sylvie Laporte, Jacqueline Leduc, Christiane Loison.  
Alti 2 : Catherine Braynas, Yolande Courivaud, Evelyne Da Riz, Yvette Fabre, Brigitte Grandeau, Christine Lirondelle, Bénédicte Motte, Dominique Raison, Josée Ruffin, Hilda Urban.  
Ténors : Anne Demarque, Guy Gautret de la Moricière, Cyril Grégoire, Christian Laloux, Christian Parmentier, Jean-François Piau.
Barytons : François Da Riz, Patrick Taveau.
Basses : Joël Choppe.

Ont accompagné le Choeur "Odyssées" (liste non exhaustive)

Le Quintette de cuivres "Eterna"

Le Quintette de cuivres "Magnifica"

L'Orchestre "Divertimento" de Chelles

L'Orchestre Symphonique du Val Maubuée (Direction: Jean-Michel Henry)

L'Orchestre su Rail

Joëlle Balestier (soprano) 

Georges Palcu (baryton)  

Les partenaires

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Les annonceurs

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Nos amis (réseau mondial)

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    Choeurs étangers reçus à Claye-Souilly

  Depuis 2010

Le Choeur "La Voix d'Antan" de Byblos (Liban) - Décembre 2010  

    Choeur de jeunes "Epilogi" de Limassol (Chypre) - Avril 2011  

Festival 2011

    "Karlshamn's Chamber Choir" de Karlshamn (Suède) - Avril 2011  

Festival 2011

    Choeur "Cantica" de Nurmijarvi (Finlande) - Avril 2011

Festival 2011   

    Coro "Santa Cecilia" de Torre del Greco (Italie) - Avril 2011  

Festival 2012

Chorale "Slavei" d'Harmani (Bulgarie)  -  Juin 2012

Festival 2012

"Limerick Choral Union" Limerick (Irlande) - Juin 2012

Festival 2012

Chorale "Chapel" Koursk (Russie) - Juin 2012

"Choeur de Crimée" Simferopol (Ukraine) - Décembre 2012 

Festival 2013

Choeur "Città di Soave" (Italie) - Janvier 2013       

Festival 2013

Choeur "Tavri" de Simferopol (Ukraine) - Janvier 2013

Choeur "Sunniva" (Finlande) - Octobre 2013

Tournées du Choeur "Odyssées"

à l'étranger.

    Depuis 2010

Chypre - octobre 2010

 Espagne (pays basque) - juin 2011

Liban - octobre 2011

  Bulgarie - mai 2013

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PROCHAINS CONCERTS

    31 mai 2015

Festival "Musiques du Monde"

Dimanche 31 mai à 17h  

Espace André-Malraux - Claye-Souilly

Choeur "Odyssées"

Duo Wang (piano - violon)

Jeanne de Lartigue (mezzo-soprano)

Groupe "Peruandino" (4 musiciens - 4 danseurs)

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Vendredi 5 juin 2015 - 20h 30

Cathédrale de Meaux

Requiem de Gabriel Fauré - Cantique de Jean Racine

Choeur Alain Charron

Choeur "Odyssées"

Direction: Alain Charron

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Samedi 6 juin 2015 - 21h

Requiem de Gabriel Fauré - Cantique de Jean Racine

Basilique de Vézelay

Choeur Alain Charron

Choeur "Odyssées"

Direction: Alain Charron

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24 - 30 juin 2015

Tournée en Italie du Nord

    Le Choeur "Odyssées" et la soliste Jeanne de Lartigue (mezzo soprano) sont invités par le Festival "Verona - Garda Estate",

la Ville de Soave,

et le Choeur d'hommes "Città di Soave"

pour le 15ème anniversaire du jumelage entre les 2 villes

25 juin: concert à Sirmione (Lac de Garde)

26 juin: concert à Asola (province Mantoue)

27 juin: concert à Soave (province de Vérone)

28 juin: concert à Breganze (province de Vicence)

29 juin à 11h: animation de la messe

en la Basilique San Marco de Venise

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Projet 2016

   Tournée en Sicile

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Noël en Italie    

En Italie, les traditions de Noël varient d'une région à l'autre et les petits italiens ne reçoivent pas tous leurs jouets en même temps.

Dans certaines régions du nord de l'Italie, c'est le Père Noël (Babbo Natale) ou le Petit Jésus (Gesù Bambino) qui apportent les cadeaux le 25 décembre. Ailleurs, c'est Sainte Lucie, le 13 décembre.

L'Italie possède un grand nombre de personnages mythiques, qui sont célébrés aux alentours de Noël. Ainsi, en fonction de la région où l'on se trouve, le Noël italien est non seulement fêté de plusieurs manières, mais également à des dates différentes.

Les fêtes de Noël commencent le 13 décembre dans le Nord de l’Italie, notamment à Parme, à Vérone ou en Lombardie orientale. Dans ces régions, c’est Sainte Lucie qui est célébrée. Comme pour le Père Noël, les enfants écrivent une lettre, dans laquelle ils mentionnent les cadeaux qu’ils souhaiteraient recevoir 

A Rome, la capitale, c'est la Befana qui apporte les jouets le jour des Rois. La Befana est une sorcière âgée mais très gentille. Elle se déplace sur son balai et passe par les cheminées pour distribuer les cadeaux.        

Ces temps de fêtes fleurent bon la boulangerie, la pâte d'amande et les fruits confits. Le plus traditionnel des gâteaux italiens est le moelleux Panettone sucré et parsemé de délicieux petits fruits, raisins, fruits confits...  

Il a vu le jour à Milan vers 1490; rapidement on l'adopta dans toute l'Italie, des Alpes à la Sicile.

Les légendes abondent sur l'origine du Panettone. La plus populaire est celle du jeune aristocrate qui s'éprit de la fille d'un pâtissier nommé Toni. Pour impressionner le père de sa bien-aimée, le jeune homme se fit passer pour un apprenti pâtissier et inventa un pain extraordinaire, sucré, en forme de dôme et d'une finesse peu commune. Ce nouveau pain aux fruits connut un énorme succès; les gens affluaient à la boulangerie pour acheter le magnifique Pan de Toni.

A Milan, les hommes d'affaires prirent l'habitude de donner le Panettone en cadeau à leurs clients pour Noël. Pendant longtemps, le Panettone fut considéré comme un luxe réservé à une petite élite.  

Les Italiens dégustent aussi le Pandoro dont la popularité suit de près celle du Panettone. Le Pandoro ou pain doré est d'origine plus récente et, par conséquent, plus représentatif des goûts du jour. C'est à Vérone, il y a une centaine d'années, alors que les changements de mode privilégiaient les pâtes à levain plus légères aux pâtes d'amandes plus lourdes, que le Pandoro fut fabriqué pour la première fois. Haut comme un arbre de Noël, il est saupoudré de sucre glace, évocation de neige ou de scintillement d'étoiles. En effet, si on le coupe horizontalement, chaque tranche ressemble à une étoile.

Tout comme le Panettone, le Pandoro se savoure tel quel. Cependant, traditionnellement, on le nappe de crème ou on l'arrose de sauce au mascarpone, de champagne, de chocolat fondu ou de crème fouettée. 

Le Panforte : les friandises traditionnelles proviennent souvent de régions spécifiques d' Italie. Un exemple classique, le Panforte ou pain fort était, à l'origine, une friandise de Sienne (Toscane). Mais sa popularité s'est étendue dans toute l'Italie. On raconte qu'en 1205, les serfs et les paysans du couvent de Montecellesi étaient obligés d'apporter aux religieuses des gâteaux au miel et aux épices en guise de recensement. Ces gâteaux étaient un tel délice que bien vite ils tombèrent entre les mains des laïques.

Le Panforte est rond, composé d'amandes fraîches, de fruits confits, surtout des agrumes, d'épices et de miel. On peut le servir avec une gamme de vins mais en Italie, c'est au Vino Santo que va la préférence. Ce vin sucré de raisins était, à une certaine époque, produit par les monastères toscans.    

Les Ricciarelli sont populaires depuis des siècles. Comme toutes les pâtes d'amandes et les sucreries, on les appellaient massepains. Des documents de la Renaissance décrivent de somptueux banquets en France et en Italie, où l'on servait des Ricciarelli. De nos jours, ces biscuits fins en forme de diamants sont toujours très appréciés. Ils sont composés d'amandes entières fraîches que l'on broie avant de les mélanger avec du sucre et du miel. Les Ricciarelli sont soit blancs, recouverts de sucre glace, soit nappés de chocolat fin.

Les crèches

La première crèche est réalisée à Naples au tout début du XIIIe siècle. Au XVe siècle apparaissent les premières sculptures. Le décor et les personnages évoluent au fil des siècles. La crèche baroque apparaît au XVIe siècle et à la fin du XVIIe siècle, la crèche napolitaine mêle le sacré (Sainte Famille, Adoration des bergers et des Rois mages...) et le profane avec des personnages de la vie quotidienne.

Au XVIIIe siècle et dans la première moitié du XIXe siècle, la réalisation de crèches connaît un véritable engouement et devient aussi le passe-temps favori de la haute aristocratie et de la bourgeoisie napolitaine qui rivalisent d'imagination pour aménager des scénographies toujours plus recherchées.

Les crèches deviennent alors plus profanes et les plus importantes comptent plusieurs centaines de sujets qui envahissent les salles et les terrasses des maisons et des palais napolitains. Cette passion pour la crèche à Naples suscite une telle frénésie collective qu'elle entraîne les meilleurs artistes du siècle dans la réalisation de figures très recherchées.

Les santons (pastori), d'une hauteur qui varie de 25 cm à 45 cm, ont un visage modelé en terre cuite (et non plus en bois) avec des yeux en verre. Les membres sont articulés en bois travaillé. Le corps est réalisé en fil de fer et étoupe, elle-même recouverte par les vêtements. Outre le soin apporté à leurs habits, ces figurines sont caractérisées par une expression très réaliste.

Dans la deuxième moitié du XVIIIe siècle, la traditionnelle grotte est remplacée progressivement par un décor de vestiges avec colonnes romaines. Puis, le registre des sujets s’éloignent des textes de l'Evangile : on y intègre des scènes empruntées à la vie quotidienne avec des personnages comme le noble, le paysan, le goitreux ou l'enflé, le tavernier, les joueurs de cartes, de morra, les banqueteurs, les joueurs de musette, de cor... La représentation des denrées alimentaires et des animaux est aussi documentée avec beaucoup de précisions.

Noël traditionnel sicilien

En Sicile, les célébrations de Noël débutent véritablement le 8 décembre lorsque les familles commencent traditionnellement à décorer leur maison pour les fêtes.  

La scène de la Nativité est une coutume beaucoup plus répandue et a été inventée, dit-on, par Saint François d'Assise. Bien que les Presepi (crèches) soient très prisées dans toute l'Italie, la Sicile arrive probablement immédiatement derrière Naples pour leur magnificence, et l'on peut les trouver dans la plupart des foyers et dans la grande majorité des églises. L'une des scènes de la Nativité les plus intrigantes de l'île est le Presepe Vivente (crèche vivante) de Custonaci, entre Trapani et San Vito lo Capo. Ici, au fond de l'immense grotte Mangiapane, se trouve un petit hameau qui, il y a 60 ans environ, était encore habité. Il fournit à présent à la crèche une toile de fond très évocatrice, dans laquelle les habitants se déguisent et rejouent la Nativité du 25 décembre à l'Epiphanie. 

Une autre belle tradition qui peut être vue dans de nombreuses petites villes, comme Isnello et Collesano dans les Madonie, est la nuit des Luminari du 24 décembre lorsque de grands feux sont allumés pour garder l'enfant Jésus au chaud.

D'un point de vue gastronomique, ces importantes festivités nécessitent des tables et des banquets dans des proportions épicuriennes. Les festins commencent le soir du 24 décembre et se poursuivent pendant 24 heures. Comme on pourrait s'y attendre dans le pays des cassate et  des cannoli, les bonbons et desserts sont d'une importance équivalente. Les plus traditionnels d'entre eux sont les Buccellati, de grands biscuits ronds fourrés d'amandes, de pistaches et de fruits secs. Les cadeaux sont ouverts après le dîner du réveillon de Noël et les énormes rassemblements familiaux sont considérés comme une chose naturelle.

Et comme si tout cela ne suffisait pas, à peine une semaine plus tard, le temps est venu de célébrer la nouvelle année par un autre cenone (littéralement grand dîner ou réveillon). Traditionnellement, les lasagne sont censées porter chance  mais de plus en plus de personnes se tournent maintenant vers la tradition plus italienne des lentilles qui sont synonymes de richesse. Cependant, une fois de plus, ce que vous mangez n'est pas si important. L'essentiel est qu'il doit y en avoir de grandes quantités et qu'à minuit, une ou deux bouteilles de mousseux aient été refroidies à la perfection et soient prêtes à être sablées.  

Le rideau final tombe le 6 janvier, jour de Épiphanie où les enfants attendent avec impatience l'arrivée... de la Befana.    

Et en ce jour de Noël, disons avec nos amis italiens :

Nous vous invitons à consulter l'article "Noël 2014"

en cliquant ICI 

Pierre Caspar 

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    Choeur d'hommes "Pluricanto"

Créé en 1987 par Dominique Wicker, « Pluricanto » a interprété dès l’année suivante la Cantate sur l’Europe de Georg Friedrich Treiber. Cette œuvre pour deux solistes, chœur d’enfants, chœur mixte, chœur d’hommes et orchestre fut donnée au Palais de la Musique et des Congrès à Strasbourg sous la direction de Hubert Dennefeld.

Le président actuel est Jean-Pierre Schneider.

La chorale a un répertoire très varié: musique populaire, folklorique, classique ou liturgique.

Elle est accompagnée au piano, à l’orgue, par des ensembles instrumentaux ou des orchestres philharmoniques. Elle chante également a cappella.

« Pluricanto » s’associe souvent avec des chorales alsaciennes pour donner des concerts festifs: « La Strasbourgeoise », la Chorale des Jeunes de Truchtersheim, la chorale paroissiale de Mommenheim, le Chœur d’hommes de Molsheim...

En 2009, un concert au Temple Neuf de Strasbourg a été enregistré en « live » avec quelques belles pages vocales et instrumentales, notamment avec l’orgue Silbermann tenu par son titulaire Daniel Maurer.

La chorale a également des relations internationales: Chœur d’hommes de Valmiera en Lettonie, Chœur mixte de Gozo (Malte)...

Tous ces contacts et échanges culturels ont donné lieu à des concerts sous divers cieux où résonnent encore les airs et les mélodies de Schubert, Verdi, Cherubini, Bortniansky, Rachmaninov, Bach, Mendelssohn, Mozart... Autant de compositeurs prestigieux qui ont permis à “Pluricanto” d’asseoir sa notoriété et sa valeur internationale.

L’année 2013 a été riche en activités.

Le 25 mai dans la salle « Terminus » de Truchtersheim et le 17 novembre à l’église, deux concerts ont été donnés, chacun remportant un vif succès.

Cette même année en juillet, « Pluricanto » a été invité en Italie au Festival « Verona Garda Estate » et s’est produit dans différentes villes de Vénétie.

Pour immortaliser et graver ses plus belles mélodies, la chorale a eu l’immense plaisir d’enregistrer son premier CD « Voyages » avec l’Orchestre d’harmonie de Mundolsheim. Pour l’occasion, elle interpréta, entre autres, Exodus, l’un des thèmes musicaux du film d’Otto Preminger.

Un deuxième CD permit une belle découverte: la Missa Victimae Pascali du compositeur et organiste strasbourgeois Joseph Ringeissen (1879-1952) écrite pour chœur d’hommes et orchestre.

Plus récemment, « Pluricanto » a enregistré un autre CD: « Pluricanto chante Noël». Ce qui a donné l’occasion à Gabriel Andrès, ancien violoniste de l’Orchestre Philharmonique de Strasbourg, de citer dans sa chronique la qualité artistique de l’interprétation de "Pluricanto", décernant ainsi à la chorale le « prix de l’authenticité» qui traduit son enracinement en terre alsacienne. 

Dominique WICKER - Chef de Choeur  

Dominique Wicker s’initie à la musique dès son plus jeune âge, puis il entre au petit Séminaire de Walbourg où il rejoint rapidement la manécanterie. Il commence alors un long apprentissage du chant choral.

A 11 ans, il effectue un premier voyage à Rome avec sa chorale affiliée au mouvement "Pueri cantores". Rome où a lieu un congrès de 7.500 petits chantres venus du monde entier.

A 16 ans, il commence le trombone au Conservatoire de Strasbourg, tout en suivant également des leçons de chant. Grâce à ce milieu favorable aux rencontres d'autres musiciens, il découvre les ensembles de cuivres ainsi que le plaisir de jouer dans des formations plus importantes comme des harmonies ou les orchestres philharmoniques.

A 20 ans, lors de son service militaire à Paris, il entre dans une très bonne formation de 120 musiciens, dont certains se destinent à devenir professionnels.

Dominique profite de sa présence à Paris pour parfaire son étude du trombone et du chant.

En octobre 1987, il créé en Alsace avec une quarantaine d'amis chanteurs du Kochersberg, le Choeur d'hommes « Pluricanto ». Ils abordent ensemble un répertoire varié dans des styles éclectiques, accompagnés par des claviers ou des formations orchestrales.

En 2000, il prend la direction du Choeur d'hommes 1856 de Molsheim, où les choristes sont des amis et collaborateurs à part entière de « Pluricanto ».

Il dirige également une chorale mixte pour changer de couleurs vocales et de sonorités.

La fréquentation du monde du chant choral, le mélange des genres, ainsi que le rapprochement des instrumentistes et des choristes à travers les voyages et les découvertes de répertoires, engendrent un enrichissement personnel considérable et varié et, par conséquent, un équilibre entre la passion, la technique et la gestion humaine.

Telle est la leçon que tire Dominique Wicker de son expérience de chef de chœur.

 Affiche du concert   

Pour voir le compte-rendu du concert avec des photos

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Les traditions de Noël en Alsace  

L'Alsace est une région riche en traditions qui font sa spécificité. Noël, en Alsace, présente un certain nombre d'aspects typiques, largement répandus aujourd'hui.    

La Couronne de l’Avent 

Elle symbolise la période précédent Noël et débute le dimanche le plus proche de la Saint André. Elle est ornée de quatre bougies qui sont l’emblème de l’attente de la naissance du Christ: symbole d’espérance et de lumière.

Les couronnes sont le plus souvent agrémentées de branches de sapins, de bâtons de cannelle, de rondelles de citron ou d’orange, sans oublier l’ange qui protège l'humanité.    

La Saint Nicolas  

Saint Nicolas, fêté en Alsace et en Lorraine, reste un mythe pour les enfants. Ces derniers mettent leurs bottes devant la porte afin que Saint Nicolas, patron des écoliers, leur apporte le 6 décembre des friandises ainsi que pains d’épice et clémentines.

Mais n’oublions pas le “Männele” en brioche qui est également l’un des symboles de cette fête.    

Le Père Noël  

Qui dans son enfance n’a pas été ébloui par cet homme mythique qui l'a fait rêver et l'a gardé éveillé pendant des heures tant il était attendu? Les enfants le guettaient par la fenêtre afin de le voir arriver sur son magnifique traîneau et quelle déception le jour où l’on apprennait que cet homme, certes très vieux, n’était finalement qu’un rêve dans la vie de chaque enfant!

Aujourd'hui, son habit tout rouge et sa hotte remplie de bonbons et de clémentines ont toujours autant de charme. Il est toujours craint par les enfants qui n’ont pas été sages.

Il reste bien ancré dans les traditions et fait partie du rêve de tout un chacun.    

Christkindel – Père Fouettard – Hans Trapp :

Ces trois personnages font également partie du mythe de Noël en Alsace. On associe à l’image du Christkindel une jeune femme douce tout de blanc vêtue, représentant la féerie des nombreuses légendes alsaciennes. Elle est souvent accompagnée du père fouettard ou de Hans Trapp qui fait peur aux enfants.

Ces personnages légendaires que l’on voit cependant de moins de moins, avaient pour objectif d’effrayer les enfants, et d’en faire des anges dans cette période de l’Avent.    

Le sapin

Autre symbole de Noël, cet arbre orné des plus beaux atours, permet à tout un chacun de vivre cette magie au sein de son foyer. Au début, l’arbre était uniquement orné de pommes et d’hosties. Alors que maintenant, il est agrémenté au gré des envies de chacun. 

La crèche

Représentant la nativité du Christ, la crèche reste l’élément important de Noël. La coutume veut que l’on ne dépose l’enfant Jésus qu’après les douze coups de minuit et qu’on approche chaque jour un peu plus les rois mages venant faire leurs offrandes.

Devenues de plus en plus rares, les crèches vivantes font, toutefois, revivre cette naissance symbole de joie et d’espérance.    

La "messe de minuit" 

En cette veillée de fête et d’attente, elle représente la délivrance ainsi que la joie et l’acclamation à la Vierge Marie, mère de l’enfant Jésus.    

Les marchés de Noël  

Les marchés de Noël sont la tradition de l’Alsace et apparaissent en même temps que le début de l’Avent.

Au début, les marchés de Noël ne se faisaient que dans les grandes villes. Actuellement ils s’étendent jusque dans les campagnes afin d’y apporter la magie du moment.

Les illuminations

En cette période de fête, on peut voir de magnifiques décorations: que ce soient les illuminations communales qui font des merveilles mais également les décors des maisons réalisés par les habitants

Laissez-vous porter par ces beautés qui vous rendent votre côté enfantin. Vous verrez des Pères Noël escaladant les murs afin d’atteindre la cheminée, des cerfs ainsi que des traîneaux et autres merveilles!

Vous voulez découvrir une forêt illuminée : alors rendez-vous à Grendelbruch où vous vivrez un instant magique.    

Les contes et légendes

Laissez-vous bercer par les histoires de gnomes et de lutins d’Alsace qui vous raconteront de façon très discrète leurs histoires mais également la façon dont ils préparent Noël.

La beauté mais également la tristesse de certains contes vous rendront votre âme d’enfant et feront la joie des plus petits.  

Les gourmandises de Noël  

Cette période est également très propice pour se mettre derrière les fourneaux afin d’épater le palais des amateurs.

Vous pourrez déguster les fameux bredele de Noël mais également les lekerle qui sont une espèce de pain d’épice et n’oublions pas le fameux christstolle qui est le pain de Noël.

Pour les plus gourmands, le foie gras maison en surprendra plus d’un.

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Choeur "Zhayvir"

 de Poltava (Ukraine) 

Le Choeur ukrainien "Zhayvir" est fondé en septembre 1989 par Alexander Borisyonok.

En 1997, le Choeur reçoit le titre honorifique de « The Ukrainian National Amateur Chorus »

Le 19 juin 1999, Alexander Borisyonok est nommé “Membre d'honneur de la Culture en Ukraine" .

En septembre 1999, le Choeur participe au Festival de la Mer Noire à Sebastopol.

En 2000, il obtient le premier prix au concours du Festival "Ukrnafta" et du Festival International de la Mer Noire à Akchakodja (Turquie).

En juillet 2001, "Zhayvir" est lauréat du 6ème Festival International de Folklore de la Mer Noire à Akchakodja (Turquie).

En 2002, Victorya Yemets est nommée assistante du chef de chœur.

En 2002 et 2011, le Choeur obtient le 1er prix au Festival "Ukrnafta”.

En 2002 et 2012, les solistes du Choeur remportent les 1ers prix du même Festival.

En 2005, "Zhayvir" obtient le 1er prix au Festival National de Musique et des Arts de Belgrade (Serbie).

Après le décès en janvier 2007 du chef de choeur, Alexander Borisyonok, Victorya Yemets devient chef de chœur.

En mars 2010, le Choeur reçoit le prix du meilleur groupe musical du Conseil Municipal de la ville de Poltava.

En octobre 2011 « Zhayvir » obtient le 1er prix au 9ème Festival des Arts de Poltova.

En juillet 2012, le groupe remporte le 1er prix du Festival International de Musique Populaire "Samorodki" à Sebastopol (Ukraine).

En octobre 2012, le Choeur obtient le 1er prix au 10ème Festival "Kozatsky roads" de la ville de Nikopol (Ukraine).

En août 2013, »Zhayvir » obtient le 3ème prix au Festival « Singing World » de Saint-Petersbourg.

En 25 ans d'existence, le Choeur "Zhayvir" de Poltava a participé à plus de 250 concerts dans différentes régions d'Ukraine (Kiev, Sebastopol...) et à l'étranger.

Son répertoire comprend des chants populaires ukrainiens et des arrangements d'oeuvres de compositeurs ukrainiens.

Le Choeur est accompagné à l'accordéon par Borys Nykanorovych Kozlovwho.

Boris Kozlovwho a remporté le 1er prix d’accordéon au Festival de Klingenthal en Allemagne en 2005. Il est par ailleurs enseignant à l’Ecole de Musique de Poltava.

Directeur artistique : Victorya Yemetz

Née à Makiyvka, dans la région de Donetz, elle est diplômée du Conservatoire de Poltava (1969), ville où elle a débuté sa carrière.

Assistante du chef de chœur de « Zhayvir » en 2002, elle devient directeur artistique en 2005.

Victorya a reçu de nombreux prix dans des manifestations en Ukraine et à l’étranger.

En février 2010, elle a obtenu un « Award" du Ministère de la Culture d’Ukraine pour sa compétence professionelle et son œuvre à la tête du Chœur de Poltava.

  Cette carte permet de situer la ville de Poltava en Ukraine

(300 km au sud-est de Kiev).

Le groupe "Zhayvir" effectuera ce trajet en bus pour venir chanter

à Claye-Souilly et en région parisienne. 

AFFICHE 

Poltava, ville d'histoire

Poltava est une charmante ville d'Ukraine de 300.000 habitants située sur les bords de la Vorksla, à mi-chemin entre les villes de Kiev et de Kharkov. L'histoire et le patrimoine de cette jolie cité sont tels que Poltava est l'une des villes ukrainiennes les plus visitées.

Poltava a vu se dérouler l'un des épisodes les plus marquants de la "guerre du Nord" : la bataille de Poltava. En effet, le 27 juin 1709, les troupes de Charles XII, roi de Suède, sont décimées par les troupes russes, à l'entrée de la ville. Cet événement historique est à l'origine de la notoriété de la ville.

Le monument triomphal

Les visiteurs peuvent ainsi découvrir l'attraction phare de la ville: le Monument de la Gloire. Érigé en plein centre de la place d'où fut prononcé en 1709 le discours du tsar Pierre 1er (fondateur de Saint-Pétersbourg), il rend hommage à la victoire des Russes. Son socle, constitué à partir de canons récupérés auprès des forteresses aux alentours, le rend unique.

Un musée mémorial

Afin de faire découvrir l'histoire de cette bataille, un musée mémorial a vu le jour sur le terrain même qui avait servi de champ de bataille. Des maquettes et des diaporamas donnent de nombreuses informations sur la bataille de Poltava.

On peut découvrir également la fosse où ont été enterrés les soldats morts au combat. Un monument dédié aux soldats suédois a également été construit afin que personne n'oublie ceux qui ont laissé leur vie au cours de cette bataille.

Poltava, ville d'art et de culture

Poltava présente bien d'autres lieux importants.

Un énorme patrimoine architectural

A l'occasion du bicentenaire de la bataille de Poltava, la municipalité a doté la ville d'un riche patrimoine en faisant appel à des architectes reconnus. De nombreux monuments et bâtiments ont ainsi vu le jour.

La Rotonde Blanche, située au coeur de la cité, est ainsi devenue l'une des attractions de Poltava. De même, le Monastère de la Croix, situé à la périphérie de la ville, est un splendide bâtiment à admirer et à visiter tout comme l'est le manoir de Kotlyarevsky.

Les musées

En arpentant les rues de Poltava, on peut découvrir de nombreux musées.

Les plus intéressants sont le Musée de l'Aviation et de l'Astronomie, le Musée Littéraire russe, le Musée d'Art, mais aussi le Musée Régional qui relate les coutumes et les traditions du pays.

A citer aussi, le monument de galushka, monument inédit érigé en l'honneur de la spécialité culinaire locale, les boulettes de pâte !

Programme du concert

Choeur « Odyssées »

Prière des Frères Moraves   -   Version française de A. Mahot

Ige herouvimy (liturgie orthodoxe)   -   D. Bortniansky

1492 Conquest of Paradise   -   Vangelis

Gabriel’s Oboe    -   E. Morricone (arr. P. Rowlands)

What a wonderful World    -   G. D. Weiss - B. Thiele - M. A. Brymer

Chœur « Zhayvir »

Nous vous souhaitons la Bienvenue   -    A. Zhdanov

Les chevaux galopent à travers la steppe   -  O. Bilash (chant populaire ukrainien)

Avancez, avancez les oies     -   V. Mischenko (chant populaire ukrainien)

Viens, George, viens dehors    -    M. Khomenko (chant populaire ukrainien)

Voici l’homme de la Mer Noire   -    V. Yemets (chant populaire ukrainien)

Mes chères prairies   -   V. Zakhartchenko (chant populaire ukrainien)

On joue du violon dehors   -     O. Bilash (poésie ukrainienne)

 soliste Oksana Paran’ko

Elle était assise sous un poirier   -    M. Kabak et O.Paran’ko

 (chant populaire ukrainien)

A travers les vignobles   -    V. Yemets (chant populaire ukrainien)

Adieu Madame    -   O.Borysyo’nok (chant populaire ukrainien)

Oh, hardis camarades   -    O. Stadnyk (chant populaire polonais)

Que cette montagne est haute   -    V. Mischenko, paroles de Glibov

soliste Mykola Kabak

Sous ce bel arbuste rose    -  V. Yemets (chant populaire ukrainien)

Je fais paître quatre bœufs     -   A. Kos-Anatolyskiy et V.Yemets,

soliste Oksana Paran’ko

Que le vent souffle fort    -   V. Zakcharchenko, paroles de T. Shevtchenko, soliste T. Dovgal

La couronne des chants populaires ukrainiens     -   O. Borysyo’nok

On entend loin le hurlement et les gémissements du Dniepr

O. Borysyo’nok, paroles de T. Shevtchenko

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